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Nobody Etats-Unis 2020 – 92min. 5a4a29
Critique du film 313a6c
L’insignifiance avant un marasme de violence 5f3u3n

L’heure de la folie meurtrière a sonné pour Hardcore Henry), l’acteur de 58 ans va zigouiller du mafieux russes dans un ballet de munitions et de poings.
Hutch Mansell (Bob Odenkirk) est un père de famille semble-t-il sans histoire. Menant une vie bien rangée, sa vie de famille va prendre un tournant au cours d’un cambriolage. Alors qu’il refuse d’intervenir pour envenimer la situation, il perd le respect de ses proches. Mais méfiez-vous de l’eau qui dort, Hutch n’est pas un simple employé, son é reste obscur et les zones d’ombre sont nombreuses. Une piqûre de rappel qui aura pour conséquence un déferlement de violence.
L’accroche donne le ton: «les gens les plus insignifiants sont parfois les plus dangereux.» Connie Nielsen), Hutch tombe le masque et démarre sa folie létale. Les chargeurs se vident et les cylindrées rugissent, le festival peut démarrer. Une surabondance de violence qui atteindra son apogée le jour où Hutch s’attaque au frère d’un mafieux russe. La goutte d’eau qui fait déborder le vase et voilà qu’un quelconque employé d’une entreprise familiale se laisse aller à la gâchette facile, réveillant ses instincts (les plus primitifs) pour contrer la vendetta russe.
Un flot de brutalité qui flirte avec le comique, dans un déluge de sang et de cadavres chauds. Orchestré par Aleksei Serabryakov, qui en fait des tonnes, mais nous ravit sous les traits du vilain parrain russe. En somme, vous débranchez le cerveau et sortez les bonbons et popcorns, et l’expérience sera joyeusement brutale!
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